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https://scholarhub.balamand.edu.lb/handle/uob/2459
DC Field | Value | Language |
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dc.contributor.author | Nahas, Georges N. | en_US |
dc.date.accessioned | 2020-12-23T09:13:45Z | - |
dc.date.available | 2020-12-23T09:13:45Z | - |
dc.date.issued | 2015 | - |
dc.identifier.uri | https://scholarhub.balamand.edu.lb/handle/uob/2459 | - |
dc.description.abstract | Je tiens avant tout à vous remercier de m'avoir donné l'occasion de parler du Père Pierre Struve, que j'évoque très souvent dans des articles et des causeries relatives à l'Orthodoxie car il représente pour moi un personnage atypique qui a su être en silence et en humilité un véritable christophore. Et c'est ce témoignage là que je veux porter non seulement vis-à-vis de vous ici présents, car il se peut que bon nombre d'entre vous laient connu, mais aussi vis-à-vis du monde orthodoxe dans lequel la personnalité du Père Pierre est peu révélée dans sa richesse et sa profondeur. Ce n'est pas en France que j'ai connu le Père Pierre. Je le connaissais déjà de nom ainsi que Tania car la famille Struve était très proche de Mgr. Georges Khodr, mon père spirituel. Mon premier contact avec lui a eu lieu au Liban, lors dune visite qu'il a faite au MJO, dont le Père Georges (alors) en était le Secrétaire Général. La douceur et la simplicité de Dr. Pierre Struve étaient frappantes. Lors de cette visite, le Dr. Struve a accompagné le Père Georges au déjeuner chez mes grands parents, c'était presque un rituel pour ce dernier. A la fin du repas, ma grand-mère se leva, mit de l'eau de fleur d'oranger sur ses mains et en enduit silencieusement les cheveux de son hôte. Je n'avais jamais vu ma grand mère faire cela auparavant et je ne lai jamais vue répéter ce geste. Des années plus tard, après la mort du Père Pierre, je lui en ai demandé la raison. Elle répondit presque à contre coeur : C'est un saint homme. Jeune militant alors au sein de l'Orthodoxie, je suis donc venue en France, j'ai habité dans le voisinage de la rue Claude Decaen et ma connaissance du Père Pierre au cours des deux années où je lai côtoyé quotidiennement ne fit que renforcer chez moi ce sentiment éprouvé par ma grand-mère et dont elle men a donné l'explication des années plus tard. Mais, pour ne pas verser dans le sentimentalisme, j'essaierai de m'arrêter sur des faits révélateurs et symptomatiques qui. | en_US |
dc.format.extent | 5 p. | en_US |
dc.language.iso | fre | en_US |
dc.publisher | University of Balamand | en_US |
dc.title | Le père Pierre Struve (1924-1968) : un témoignage porté au nom du Christ | en_US |
dc.type | Journal Article | en_US |
dc.contributor.affiliation | Department of Education | en_US |
dc.description.issue | 252 | en_US |
dc.description.startpage | 386 | en_US |
dc.description.endpage | 391 | en_US |
dc.date.catalogued | 2018-04-25 | - |
dc.description.status | Published | en_US |
dc.identifier.OlibID | 179861 | - |
dc.relation.ispartoftext | Contacts | en_US |
dc.provenance.recordsource | Olib | en_US |
Appears in Collections: | Department of Education |
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