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DC FieldValueLanguage
dc.contributor.advisorDorlian, Georgesen_US
dc.contributor.authorBorgi, Roubaen_US
dc.date.accessioned2020-12-23T14:43:06Z-
dc.date.available2020-12-23T14:43:06Z-
dc.date.issued2014-
dc.identifier.urihttps://scholarhub.balamand.edu.lb/handle/uob/4552-
dc.descriptionBibliogr. p. 163-168.en_US
dc.descriptionSous la direction de Dr. Georges Dorlian.en_US
dc.description.abstractPartout et de tout temps, l'homme a éprouvé des sentiments d'amour, de haine, de peur, de jalousie, de joie etc., mais il ne les a pas exprimés de la même façon. Plusieurs facteurs y interviennent et jouent un rôle décisif, certains sont relatifs à la personnalité et d'autres sont d'ordre socio-culturel. Pour sa part, la langue y serait-elle pour quelque chose ? Un même sentiment ressenti par un francophone trouverait-il une expression identique, à l'aide de mots équivalents, chez un arabophone? Suffirait-il de traduire les mots pour que les sentiments qu'ils expriment soient aussitôt traduits ? Traduire la poésie pourrait-il aboutir à sa réécriture même si les deux langues, source et cible, appartiennent au pourtour méditerranéen qui a en partage une longue tradition de poésie amoureuse? L'objectif de ce mémoire est d'étudier une pratique originale consistant à rendre, en langue arabe, le sentiment d'amour exprimé dans certaines chansons françaises des années 1940-70, interprétées par différents chanteurs tels Edith Piaff, Charles Aznavour, Jean Ferrat… En ayant recours à une traduction non traditionnelle de ces textes, on cherchera à étudier l'apport de la théorie de l'équivalence (les différents types d'équivalence), ainsi que celui de l'approche fonctionnelle à laquelle appartient la théorie du Skopos, dans la traduction de ces textes. On cherchera aussi à évaluer la marge de liberté que ces théories accordent au traducteur. Ainsi, commencera-t-on par explorer les fondements théoriques sur lesquels on s'appuie pour expliquer les raisons du choix effectué. Ensuite, on étudiera la mise en application de ces théories aux traductions accomplies, et ce en ayant recours à différents types d'interprétation. Il est à noter que l'on est resté conscient tout au long de ce travail que l'interprétation est l'un des défis majeurs auxquels doit faire face le traducteur qui, avant tout, est un lecteur qui assumera en un second temps la tâche du «nouvel auteur». Cette interactivité est à la base de l'activité traduisante de chaque texte, surtout les textes littéraires et à plus forte raison les textes poétiques. Dans le cadre dune telle expérience, les interprétations adoptées posent-elles un problème ou bien contribuent-elles à renforcer la charge poétique du translatum ? L'exposé détaillé de chacune des traductions viendra répondre à cette question. De plus, on réfléchira à l'impact sur le rendement final du traducteur, de l'empathie qui se tisse entre le traducteur et son texte, et à l'effet que cette empathie peut avoir sur le traducteur dans le processus de saisie de l'âme du texte original afin de le recréer à laide d'un autre matériau. C'est pourquoi, parallèlement à la traduction de chaque chanson, qui est une première version et qui essaye de suivre la structure générale de la chanson source (nombre de vers, rime, etc…), nous proposerons une deuxième version, LA version adoptée, qui est en fait une réécriture de la première version, et qui adhère davantage : - à la traduction organique telle que définie par Holmes, - aux trois critères de la Skopos1 : avoir un but précis, maintenir des liens avec le texte source, être cohérent et compréhensible pour le public cible, - à l'équivalence pragmatique comme devant être tournée vers la réponse du lecteur, - aux attentes conventionnelles des lecteurs comme l'expose Christiane Nord. Cette démarche n'est que la procédure d'enfantement et de recréation que ce Mémoire essaye de défendre en démontrant son efficacité dans le cadre de la traduction littéraire en général et de la traduction des poèmes en particulier.en_US
dc.description.statementofresponsibilityPar Rouba Borgien_US
dc.format.extentvii, 168 p. :tables ;30 cmen_US
dc.language.isofreen_US
dc.rightsThis object is protected by copyright, and is made available here for research and educational purposes. Permission to reuse, publish, or reproduce the object beyond the personal and educational use exceptions must be obtained from the copyright holderen_US
dc.subject.lcshTraductionen_US
dc.subject.lcshPoésie--Traductionen_US
dc.subject.lcshChansons françaises--Traductions Arabeen_US
dc.titleLa poésie entre traduction et réécriture : le cas des chansonsen_US
dc.typeThesisen_US
dc.contributor.departmentDépartement des Langues et Traductionen_US
dc.contributor.facultyFaculté des Arts et des Sciencesen_US
dc.contributor.institutionUniversité de Balamanden_US
dc.date.catalogued2014-08-14-
dc.description.degreeMA en Langues Vivantesen_US
dc.description.statusPublisheden_US
dc.identifier.ezproxyURLhttp://ezsecureaccess.balamand.edu.lb/login?url=http://olib.balamand.edu.lb/projects_and_theses/Th-LaF-17.pdfen_US
dc.identifier.OlibID155045-
dc.provenance.recordsourceOliben_US
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